Les rêves chez les transgenres
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Ceux qui croient aux mondes parallèles disent " que la nuit notre esprit vogue dans des lieux,mondes..., sous des formes autre que notre enveloppe charnelle".
Peut être vivons nous toutes en femme dans un autres monde?
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@Pauline Peut-être ! Si tenté que le multi-dimensionnel existe et je serais curieuse de voir ça ! Si l'univers est comme la série Rick & Morty, je deviendrais complètement folle ! XD
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Je pense que certaines personnes autour de moi sont sur le point de prouver l'existence du multivers. Je veux dire, ils viennent vers moi et me racontent des trucs dont j'ai complètement rien à foutre. Conjecture (de fraise): Un de mes doubles extra-dimensionnel est passé par ici et fait croire que je m'interesse à ce qu'ils peuvent me raconter... genre une blague d'une autre monde quoi...
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Ok, cool,... si on peut plus papoter "conjecture", c'est la dictature
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En ce moment je ne me souviens pas trop de mes rêves. Cependant il me semble que dans mes rêves je suis plus souvent neutre, sans genre.
Je ne parle pas là des moments semi-éveillée ou je parcours ma garde robe par la pensée. J'envisage telle ou telle tenue en evaluant mentalement les associations de formes et de couleurs.
Dernièrement je me suis intéressée au mouvement féministe, et à la dénonciation du patriarcat, de la masculinité toxique et de l'oppression qui peut en résulter. Je suis en particulier choquée de tous les témoignage de violence dans l'espace public que subissent des femmes et qui sont publiés suite à l'agression de Marie Laguerre.
Du coup mes craintes concernant la transphobie sont devenue des craintes concernant l'oppression masculine en général.
Mes ressentis évoluent aussi.
Récemment j'ai fait un rêve qui se passait dans une maison avec plusieurs personnes. Les couples n'étaient pas bien défini. Je me souviens d'un jeu de séduction. Je me souviens en particulier d'un ressenti, féminin, mélange de crainte d'être abusée, d'être séduite par jeu et en même temps de vouloir écouter mes envies, de rechercher une relation qui pourrait être agréable. Je me souviens d'avoir profité du plaisir d'être courtisée sans envisager de céder.
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Je me souviens bien de mes rêves et j'arrive à les influencer depuis environ 5 ans.Il m'arrive de temps en temps de rêver que je suis une fille,une fois j'étais même enceinte .Il m'arrive aussi de me métamorphoser en fille en modifiant mes rêves.Dans le merveilleux monde onirique j'ai des capacités innées en métamorphoses impressionnantes renforcé avec la pratique .Selon mes émotions je peux me métamorphosée en loup gigantesque (quand je suis très énervée) en ange pour protéger ce qui m'est cher,en panthère pour gambader escalader et courir,parfois en dragon (c'est très féminin )pour voler.J'ai aussi des capacité psychique impressionnante et je peut ressentir la présence des gens autour de moi.
Je rêve que je voyage beaucoup ,j'essaie de devenir la meilleur magicienne et m'amuse beaucoup.Par contre j'arrive pas à trouver une montre qui fonctionne correctement.Le plus embêtant c'est que je m'autoproclame déesse et qu'il y à toujours des imbécile pour m'attaquer ou me manquer de respect.
Mon rêve le plus rigolo c'était quand je revenais d'une expédition de l'antarctique ma femme et ma fille qui était une ados m'attendais sur le Quai.Mon adolescente me saute dans les bras en criant papa (à cette époque je me voyait encore comme garçon).Je demande discrètement et gêné à ma femme comment s'appelle ma fille."Bonjour Séléna" dis je ensuite en essayant d'être naturel.
Pour mon genre dans mes rêves je dirais neutre féminin et alignement chaotique bon pour D&D.
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Bonjour !
Je viens dépoussiérer le sujet avec mon rêve vécu dans la nuit de Mercredi à Jeudi.
Bonne lecture
Je me réveille dans mon lit. Au vu de la luminosités aux fenêtres de ma cabine, il fait encore nuit.
Je sens mes long cheveux bouclés sur mon épaule, j’aimerais qu’ils soient plus long...
Je sens que je n’arriverais pas à me rendormir. Je prend directement la porte en bois pour sortir. Me voilà vêtue seulement de ma longue chemise blanche ternie, sur le pont de mon bateau éclairée par l’aube qui pointe à l’horizon. Je sens sous mes pieds le bois sec et rugueux de mon navire. Je prend une seconde pour apprécier le calme de l’océan à perte de vue autour de moi.« autant en profiter pour gagner du temps sur mes poursuivants. » me dis-je.
Je rentre dans ma cabine, et commence a m’habiller : pantalon moulant en cuir avec la veste assortie. j’enfile ma ceinture et j’attache mon épée a cette dernière. j’enlace enfin une grande lanière de cuir équipe de divers outils en travers de mon torse
Une fois fini, je me dirige vers la console de commande du navire pensif :
D’ailleurs, je ne sais même pas pourquoi on me poursuit sans relâche depuis des jours et des jours. Dès que je me sens tranquille, un immense navire arrive a vive allure et fait feu sur mon bateau…
Je regagne ma concentration : radar, RAS… furtivité activée, on va l’enlever pour le moment, énergie un peu moins d’un tiers.
Bon va falloir trouver un port pour faire le plein.
Et enfin mettre le cap vers l’Est, en changeant complètement de direction, j’espère les semer, et puis mon instinct me dit d’aller par là J’écoute toujours mon instinct, ce qui m’a bien servi jusque là !
En sortant je croise un grand miroir sale fixé au mur : Je découvre que je ressemble de plus en plus à une jeune femme, j’ai l’impression que ma silhouette se féminise… C’est peut-être ça qu’ils croient poursuivre les gars ! Je pouffe légèrement de rire .On verra plus tard..
Je sort sur le pont, la lumière bleutée à lassé place à l’orangé du levé de soleil.
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BOOM ! BOOM ! BOOM !
Bordel ! Trois projectiles m’ont raté de peu ! Le bateau tangue ! Je perds l’égerment l’équilibre.
Je me précipite tant bien que mal aux commandes : Le radar ! Merde ! C’est lui ! Pas le temps réfléchir à un plan, toute la puissance dans les moteurs, on verra pour les économies après !
J’esquive les missiles et les torpilles en zigzagant, j’ai les yeux fixés à l’horizon.
Une île ! Et une immense en plus ! Je crois me souvenir de cette île sur ma carte…. Elle est longiligne et j’arrive du bon coté.
Je vais pouvoir traverser l’île par la terre grâce à la coque renforcée ! Cette option est rare sur les bateaux !Ok un bon plan ! On sors les réacteurs secondaires juste avant de toucher la terre et ça va le faire ! Ok je fonce !
J’arrive à toute allure sur l’île, je mets la gomme !
La bateau est secoué de toutes parts il est pas fait pour ça le bougre ! j’entends le bateau qui tape les arbres, des explosions autours de moi, MAIS BORDEL LÂCHEZ MOI !
Mon bateau se trouve à présent sur une épaisse couche de glace, chance ! Allez on overclock légèrement les moteurs pour les larguer ! La pente est rude ! Des explosions suivit de morceaux de glace qui tombe sur le pont ! Allez je vois le bout, un coup de turbo pour le spectacle ! Je m’en souviendrait de ce coup là !
Plus de bruit. Je suis dans les airs
Je quitte le tableau de commande pour aller sur le pont et profiter de la vue :
Une immense falaise droit devant avec d’immenses pics de glace.
Et merde...
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Mon bateau s’empale un peu plus bas sur la falaise un fracas assourdissant. Je me retrouve projeté vers l’avant heurtant ma tête contre la glace.
Je perd connaissance…
J’ouvre une paupière… plus l’autre.
J’ai la tête lourde, très lourde… Avec un sifflement dans les oreilles qui diminue…
J’ai mal à la tête, et mal à une côte. Merde, du sang, et pas qu’un peu…
La glace est tranchante comme une épée, j’ai du frôler un de ces trucs….
Haïe.. merde, ma jambe, non ça va.. elle bouge et pas de sang, peut-être tordu un truc.
Bon, faut que je bouge, j’entends des échos de voix d’hommes visiblement très agités et j’ai pas envie des les attendre !
Je prend mon sac à dos et je commence à grimper tant bien que mal la falaise glacée.
J’arrive rapidement à du sol plat, je suis exténué, j’entends des voix derrière moi portés par le vent.
Un chemin de terre jaunâtre est dessiné sur la plaine verdoyante que se présente à moi.
« Je me battrais jusqu’au bout pour ma liberté » en balbutiant ces mots, je suit la direction du chemin légèrement en pente.
J’ai le souffle de plus en plus court, j’ai mal à la cheville, je suis fatiguée, je transpire, mes muscles brûlent….
Ma complainte est interrompue.
Le chemin s’arrête, je me trouve face à un immense gouffre. Un pas de plus et c’est la descente aux enfers. On ne vois même pas le fond.
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Je me retourne pour rebrousser chemin et aperçois un homme. On dirait qu’il porte le plastron d’une armure, une cape animée par le vent. Cheveux long aux épaules, il s’avance vers moi d’un pas vif et assuré.
Il est seul. C’est couillu de sa part de se pointer seul comme ça face a moi. Ou peut-être un excès de confiance…
Bon, il est a 100metres,
j’ai encore un peu de temps pour réfléchir… putain j’ai rien !
Merde, 50metres...
ah ! c’est un plastron de la garde royale, je comprend maintenant dans quelle merde je me trouve.
Bon… Deux choix :
Allez lui demander ce qu’il me veux depuis ce temps là et risquer de passer des mois dans une geôle abandonnée à mourir de faim, vu la taille du gars et mon état je pourrais pas lutter..
OU, sauter et mourir libre.
20metres…
Je commence a discerner son visage, des sourcils prononcés mais pas trop épais, un regard déterminé, une barbe de quelques jours.
J’ai le soleil dans le dos, je contemple mon ombre avec mes long cheveux bouclés qui vacillent légèrement avec la brise. ils m’arrivent presque aux coudes…
J’aurais aimé les avoir plus long quand même…
j’esquisse un grand sourire, j’écarte les bras.
Il se précipite, mais il est encore trop loin.
Je plonge en arrière, sentant le vent de la chute me porter…
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Je me sens légèrement ballottée. Quelqu’un me porte dans ses bras… Merde, ils m’ont chopé.. Je perd à nouveau connaissance.
Je suis réveillée par la sensation d’une main dans mes cheveux qui caresse lentement ma tête…
C’est agréable comme sensation… je me laisse envahir par ce plaisir simple.
Je sens la main quitter ma tête, caresser mon épaule, longer mon corps et s’arrêter sur ma hanche…
Je suis dans un lit,je ne porte que ma chemise longue, je me sens bien, en sécurité… apaisée.. je m’assoupis de nouveau.
Je me réveille la tête dans le gaz. Il fait jour dehors, le soleil tape sur les vitres de la cabine. Des rideau rouge bordeaux avec des broderies en or. A proximité, un bureau en bois avec des instruments de navigation dorées et je devine des cartes dans la légère pénombre.
Je me redresse et je baisse la tète pour vérifier ma blessure, Ah, ya du monde au balcon dis donc….je penche la tête sur le coté, plus de blessure apparente mais la douleur est toujours là…Bon plus d’urgence médicale ont dirait, je glisse ma main sur mon entre-jambe.. ha c’est plutôt plat ici.
Bon, bah je pense que je devais m’y attendre.
Péniblement je me dirige vers la porte. Je l’ouvre lentement, ma tête tourne toujours. La lumière de l’extérieur me donne mal aux yeux...
J’aperçois mon sac a dos sur le sol à ma gauche, je le prend et le met sur mon dos sans me poser de question.
Sur le pont des matelots s’affairent a diverses taches que je ne prend pas le temps d’examiner, ils ne semble pas m’avoir vu, c’est ma chance, je me dirige a pas feutrés sur le bord du navire et me laisse passer par dessus bord sans même regarder en bas.
Pouf ! sur le sol. La chute ne ma pas fait mal, mais la douleur sur mon flanc et les vertiges sont toujours là, je longe rapidement la plage et pénètre dans une grotte.
[ ELIPSE]
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J’entends un lent et fort grognement résonner dans la grotte. Je découvre en face de moi un dragon. Qui n’a pas l’air ravie de me voir...
Mais oui ! Je me souviens maintenant ! j’ai volé un œuf de dragon à des marins bien éméchés qui l’exhibaient dans une taverne, leur méfait m’avait révolté et j’ai pris la décision de ramener l’œuf a sa mère. J’avais glissé l’œuf...dans mon sac. Sacré coup de bol.
Lentement je me dirige vers un mur de roche. J’ai du mal à bouger, je m’assoie sur le sol puis m’adosse au mur. Je n’ai plus du tout de force.Il me faut maintenir toute ma concentration pour saisir mon sac à coté de moi, détacher la sangle et l’ouvrir. J’entends le dragon respirer par les narines visiblement attentif.
Délicatement, mais surtout à bout de force, je sors de mon sac un amas de tissu enroulé.
Péniblement, sous les yeux attentifs du dragons, je déballe un œuf immense, gris comme de une pierre. Intact, solide ses machins..
Je le pose maladroitement au sol et il roule lentement vers la créature.
Voilà, j’ai accomplis ma mission personnelle, rendre à sa mère son enfant.
Elle va faire quoi maintenant ? Me bouffer ? c’est pas comme si je pouvais me battre ou fuir. J’espère qu’elle va attendre que je meure avant de me faire quoi que ce soit. Je suis au bout de mes forces, je n’ai plus mal nul part.. je ne sens plus mes jambes...ni mes bras….Je me sens bien… En paix…
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Je me réveille d’un coup, les yeux ouvert sans difficultés, pas en pleine forme mais pas mal. La grotte est illuminée par la voûte qui donne directement vers le ciel.
Je suis toujours adossée à un mur rocailleux..
Personne aux alentours, mon sac sur le sol.. pas un bruit.
Je prend mon sac et commence a marcher. Je n’ai plus mal nul part, et mes cheveux arrivent en bas de mon dos… Voilà ! Là c’est bien là ! Je m’amuse avec mes cheveux en marchant.
Je fini par sortir pour constater que le bateau de mes poursuivants n’était plis là. Sur la plage à la place, mon bateau qui semble m’attendre… il a triste allure.. On dirais une veille péniche bonne pour la casse... Mais apparemment avec la coque renforcée, il est aussi équipé d’un système insubmersible… ça m’étonnerais que le vieux qui me l’a vendu le savais. Du coup ça rend sa réparation envisageable.
Tout est calme. Le bruit des oiseaux est doux à l’oreille…
Arrivé a l’épave de mon navire, le dragon apparaît brutalement et se perche en haut d’un immense amas de roche.
Pas hostilité ?? bon..
Je prend donc la décision de réparer mon bateau, je découvre que j’ai une force surhumaine, Je peux porter d’immense planche de bois d’un seul bras… je regarde le dragon d’un air interrogateur… il s’est mis en boule et fait mine de ne pas m’avoir vu. En examinant la coque, je finis par trouver une grande écriture argentée que je n’avais jamais remarquée « Le hollandais volant » Je ris légèrement : ha bah je vois que le premier propriétaire était aussi inspiré que moi ! Si il avait pu voir que j’ai fait voler son bateau !! haha !
En fin d’après midi j’avais appliqué toutes les réparations de fortune. Démarrage moteur… oula !y a du rouge, il a souffert, on va se traîner… navigation… ok. Radar et les autres trucs restent éteint.
Je m’approche du panneau de commande pour partir et à ce moment là j’entends une voix féminine résonner dans ma tête : « Ton destin n’est pas sur l’eau, mais dans les airs »
Je sors de la cabine et regarde.. la dragonne du coup.. j’imagine… elle me fixe… puis je retourne dans la cabine.
Soudain : un autre souvenir fait surface : la prédiction de l’oracle ( une vieille avec un turban sur la tête, un long nez avec des boutons que j’avais croisé dans une foire)
« Tu rapporteras l’œuf au dragon et l’homme de ta vie ne cessera jamais de te poursuivre ! Mais il désire plus que tout au monde la seule chose qu’il n’aura jamais »
Je me laisse tomber à la renverse sur mon lit… je m’exclame : « Sans déconner ! c’est quoi cette prophétie ?! »
L’homme de ma vie ?? mais ?? QUOI ???
[ ELIPSE]
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Me voilà dans les air sur le dos du dragon, cela fait des jours que je m’entraîne à l’épée et aux arts martiaux. Je ne fait plus que ça, mais cette nuit, on patrouille.
La nuit bien tombée, j’aperçois au large une lumière… je ne sais pas pourquoi mais je sais que des gens sont en danger.
Arrivé, une petit île avec une immense auberge en flammes… Un bateau est accosté, mes anciens poursuivants qui sont là. Le capitaine ne doit pas être loin… au hasard…dans l’auberge en flammes ?.
J’atterris, je me précipite dans l’auberge. Tiens, le feu ne me brûle pas, j’ai juste un peu chaud. J’arrive même a contrôler un peu les flammes mais je sens que ça m’épuise…
Je trouve le capitaine sur le sol inconscient et je le propulse al hors du bâtiment.
Je me retourne et face a moi un grand squelette en armure noir et voilette. Je sors l’épée de feu que m’a donné la dragonne quelques jours plus tôt , j’esquive son coup et je plante mon epée dans son torse. Je vois son aura magique disparaître.
Je sors de la épuisée. je ne sais pas pourquoi je suis également essoufflée. J’examine l’homme que je viens de sauver « mon homme » il paraît...
Il est blessé et perd du sang, c’est moche. Instinctivement je joint mes paumes sur sa blessure, une lueur verte apparaît. Les matelots commencent à m’encercler mais sans savoir quoi faire assistant au spectacle.
Il se réveille, une fois debout, regarde autour de lui et me saisi le bras. Merde ! Je l’ai pas vu venir ce coup là ! Je me débat de toutes mes forces, mais je n’ai plus rien. De l’autre main j’essaye de frapper son torse, il reste stoïque, ça ne lui fait absolument rien, je ne parviens même pas à abîmer les broches en bronze qui tiennent sa cape.
Mes forces me quitte, je perds connaissance.
Je me sens portée dans ses bras. Que je commence à connaître maintenant… Sa délicatesse est agréable, je commence à apprécier.
Il a remarqué que je m’était réveillé. Il s’arrête pour me lasser regagner le sol.
On se trouve sur le ponton à l’autre bout la dragonne m’attend les pattes dans l’eau.
Je me dirige vers ma monture, lorsque je l’entends derrière moi s’exclamer : « Épouse moi ! »
Je me retourne avec un grand sourire et je lui répond : « Désolée ! j’aime trop ma liberté pour me marier. »
Et je m’envole à dos de dragon
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[ELIPSE]
Je me prépare pour une soirée huppée, soirée infiltration, je sais simplement que je doit m’y rendre.
Me voilà vêtue d’une longe robe noire cintrée ouverte à mi-cuisse , talons haut et pour fini un long châle en soie violet profond.
La soirée se déroule, j’en suis à mon troisième verre de champagne et je ne ressent toujours pas les effets de l’alcool. Il fait nuit noir dehors. L’éclairage du salon principal met en valeur le tapis rouge, les cordages dorés des lustres et des rideau magnifiques habillent les grandes fenêtres.
J’écoute les conversations et je déambule de part et d’autre de la grande pièce remplie d’invités de marque.
En passant au milieu de la pièce , une serveuse me tend le plateau, je lui adresse sourire et je saisi une flûte. En levant les yeux du plateau je découvre l’homme de ma vie en face de moi à l’autre bout de la pièce, je repose délicatement la flûte avec une mine déconfite. Je sens le regard interrogateur de la serveuse, et me retourne rapidement. Je cherche à me dissimuler parmi les invités. Je sais qu’il m’a vue, je sais qu’il me suis.
Ouf ! j’arrive sur l’immense balcon, point d’extraction où ma monture m’attend cachée dans la nuit.
Je suis presque arrivée au bord du balcon.
Soudains : « Gwen! Deviens ma femme !»
Je suis pétrifiée. Merde ! Il connais mon nom. Comment il a fait ? Il est bon le bougre !
Sa voix résonne dans ma tête.
Soudain je sens sa présence juste derrière moi. Je me retourne. Il est presque accolé à moi, en contre jour de la soirée.
Je relève les yeux, Je pose délicatement ma main sur son torse. Je caresse lentement ses broches, ses médailles.. Je sens en moi brûler un profond désir…j’en tressaillirais presque. Je pose ma main sur sa joue, légèrement rugueuse par une barbe de 3 jours… Pourquoi moi ? Il doit avoir du succès avec les femmes non ? c’est obligé ! Je le désire mais quelque chose m’emperche d’en être amoureuse.
Je doit partager un lien avec la dragonne, ce qui me lie à elle et à personne d’autre.
Je prend alors la parole d’une voix douce : « Je ne peux pas être ta femme. » Sa détermination n’est visiblement pas ébranlée. Je reprend par ces mots « Mais on peux passer la nuit ensemble »
Je suis réveillée par une main qui se glisse dans mes cheveux… une caresse qui parcours mes longs cheveux bouclés. Je sens l’air frais dans mon coup, qui fait place à un tendre baisé.
Ho mon dieu que c’est bon. Je n’ai jamais ressenti ça…
Je prend une un grande inspiration tout en essayant de m’étirer mollement. Le lit est super doux et confortable.
Je sens sa main me caresser le corps a travers la couverture pour s’arrêter sur ma hanche, je la saisie avec la mienne pour la placer sur le bas de mon ventre.
Je sens la chaleur de son corps sur ma peau nue. Ho bordel j’adore ça.
Je me sens tellement bien… a ma place...détendue...apaisée… protégée..puis j’esquisse un léger sourire coquin : un peu fatiguée aussi...
J’entre-ouvre les yeux, je me lève lentement et m’assoie sur le bord du lit. Une main tiens le drap sur ma poitrine, l’autre me sert de béquille.
Je sens mes cheveux délicatement déplacés dans mon dos, un baiser sur mon épaule gauche me fait instinctivement pencher la tête à droite. Un nouveau baiser passionné dans le coup et l’enlacement de ses bras me fait vaciller de plaisir. Je laisse échappé un petit gémissement de plaisir.
Et merde, il sais que j’adore ça maintenant, il va plus me lâcher.
Et je me suis réveillée =D
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Mais? Mais ? T'a tout écris au réveil ou tu t'en rappelle parfaitement bien?
Quelle histoire ! Ca a du se passer en 5 secondes dans ta tête alors que ça dure plusieurs jours
Tout est tellement plus flou dans mes rêves. Il y a des situations ou un fil directeur mais pas ou peu de détails.
Par la même occasion tu avais le contrôle dessus? (Se rendre compte qu'on est en train de rêver donc s'autoriser a tout faire) A priori c'est difficile et ça ne m'est jamais arrivé^^ -
Coucou, en tout ça m'a pris 2 soirées a tout écrire. le premier résultat, mon imagination consciente avant brodé et ajouté des bouts, c'est en me relisant que je suis parvenue a discerné mon rêve et des morceau qui me sont venus après, ça n'a pas été simple.
A mon avis des bouts sont partis
Je n'avais pas de contrôle dessus au sens prendre une décision. Pas contre j'ai pu faire durer la dernière "scène" car je commençais a me réveiller et je voulais pas sortir du rêve.
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C'est ce que je disais sur le minousse. Avoir autant de détails sur un rêve, cela ne m'arrive quasiment jamais. De même, avoir des cycles de rêves qui continuent un cycle précédent, c'est très rare (et souvent peu cohérent une fois réveillée).
Il y a un autre truc marrant qui peut arriver, c'est quand tu es face à une contradiction. Et il y a une sorte d'effet "magique" qui te résout la contradiction en te faisant croire que t'as rêvé d'autres choses avant, alors que pas du tout
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Oui flo, je vois de quoi tu parles.
Me concernant ça ne m'était pas arrivé depuis l'année dernière, même si le post est plus récent, j'en avait rêvé avant.
Après je pense que c'est une loterie. y'en a pas mal qui passent à la trappe ou qui ne laissent qu'une impression.
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Bravo Gwen !! Tes rêves sont de sacrés romans, à toi toute seule !!
Pour ma part je n’ai pas une telle précision dans mes rêves ! Tu me diras c’est un peu de ma faute aussi… je débarque à l’improviste dans mon rêve, et la première chose que je fais, c’est mettre une torgnole à l’individu qui se trouve en face de moi. Alors forcement les dialogues sont très courts, et le film se termine en deux temps trois mouvement ! Bon, va p’être falloir que j’arrête de regarder The Equalizer, ça me donne trop la patate.
Tout ça pour dire, qu’avec tes histoires, cela ma donnée une idée de slogan du style « Ne laissez jamais vos rêves dormir ! Vivez-les !! »
Mais sinon ne me demande pas mon dernier rêve… c’est encore une histoire tordue !!
D’ailleurs, je me suis amusée à faire une affiche, dans lequel j’incarne le rôle de Marx, sœur cadette de Dom Cobb, que je dois délivrer des limbes.Faudrait p’être qu’un jour, je songe à faire carrière dans le Cinéma moi !!